La Commission européenne a commencé à approfondir la « punition » que l’Union européenne entend infliger à Israël si le prochain gouvernement déclarait l’extension de sa souveraineté sur la vallée du Jourdain et sur les stations juives de Judée-Samarie. Personne ne sera surpris d’apprendre que celui qui prend la ligne la plus agressive contre Israël dans les débats est le délégué aux affaires étrangères de l’UE, Josep Borrell, qui est hostile à l’État juif depuis des années. D’autre part, des voix plus équilibrées sont également entendues, comme celle du président de la Commission européenne Ursula van der Leyen ou celle des représentants des États amis d’Israël, en particulier de l’Europe centrale et orientale.
Étant donné que l’unanimité est requise parmi les 27 États de l’UE pour les décisions de politique étrangère, il sera difficile pour Josep Borell d’adopter des sanctions sévères imposées par des pays comme la Suède, l’Irlande et le Luxembourg, quidemandent l’annulation des accords entre l’UE et Israël, l’exclusion d’Israël du programme européen de recherche et de développement « Horizon 2027 » qui prévoit des millions d’euros pour la recherche scientifique et technologique en Israël, remettent en question l’accord Ciel ouvert et d’autres des mesures de ce genre.
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Une réunion régulière des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne se tiendra jeudi prochain au cours de laquelle la question de la souveraineté sera inscrite à l’ordre du jour sans prendre de décision.
Cette attitude de certains pays de l’UE et chef de sa politique étrangère à l’égard du seul État démocratique du Moyen-Orient, qui rend tant de services en Europe, semble encore plus répulsive après les révélations sur la clémence de l’Union européenne à l’égard des individus liés à des organisations terroristes dans le cadre de son aide financière à des projets en faveur des populations arabes « palestiniennes ».
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demandent l’annulation des accords entre l’UE et Israël, l’exclusion d’Israël du programme européen de recherche et de développement « Horizon 2027 » qui prévoit des millions d’euros pour la recherche scientifique et technologique en Israël, remettent en question l’accord Ciel ouvert et d’autres des mesures de ce genre.
Une réunion régulière des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne se tiendra jeudi prochain au cours de laquelle la question de la souveraineté sera inscrite à l’ordre du jour sans prendre de décision.
Cette attitude de certains pays de l’UE et chef de sa politique étrangère à l’égard du seul État démocratique du Moyen-Orient, qui rend tant de services en Europe, semble encore plus répulsive après les révélations sur la clémence de l’Union européenne à l’égard des individus liés à des organisations terroristes dans le cadre de son aide financière à des projets en faveur des populations arabes « palestiniennes ».
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